Chargement…


Doctors of Tomorrow - Season 2 episodes 3 & 4
  • 62' - 61'
  • Auteur : Guillaume Barthélémy
  • 18-06-2012
  • Master : 2081 - 2082

Médecins de demain – Saison 2 épisodes 3 & 4 | Les séries du réel | France 4

Comme lors de la saison 1, Guillaume Barthélemy et son équipe ont filmé, durant plusieurs mois, de jeunes internes qui aspirent tous à devenir de grands médecins. Mais, dans cette saison 2, aux portraits d’Adrien et de Marie-Odile, tous deux interne aux urgences, s’ajoutent ceux de David et de Delphine. Pour ces deux derniers, la donne a changé. Devenus chefs de clinique, David et Delphine sont désormais en premier ligne. Dans la première saison, David terminait sa formation d’interne en chirurgie plastique et réparatrice. À 29 ans, il occupe aujourd’hui le poste de chef de clinique à l’hôpital Nord de Marseille. David est aujourd’hui seul face à ses patients. Il n’a plus de supérieur pour l’accompagner, mais un interne qu’il doit, à son tour, former. À l’hôpital Foch de Suresnes (Hauts-de- Seine), Delphine a fini par faire sa place dans l’élite de la chirurgie thoracique. Mais la jeune femme de 30 ans sait qu’une nouvelle recrue est toujours attendue au tournant. Pour David et Delphine, ces nouvelles fonctions accroissent leurs responsabilités et le temps passé au bloc comme au chevet des malades. Mais les images les plus étonnantes de cette série documentaire portent surtout sur la dextérité de ces deux chirurgiens. La caméra suit notamment le travail d’orfèvre dont fait preuve David : l’opération d’un panaris, d’un doigt sectionné ou d’une main brisée nécessite plusieurs heures de manipulation, très souvent au millimètre près. Même maîtrise et même précision des gestes pour Delphine. Auxquelles s’ajoute, pour la transplantation d’organe, le stress inhérent à une véritable course contre la montre engagée pour récupérer l’organe du donneur. Mais si David et Delphine font de toute évidence déjà partie de l’élite des chirurgiens en France, ils n’en restent pas moins humbles et lucides. Ils évoquent sans complexe et sans détour leurs doutes comme leurs angoisses. Un franc-parler qui les honore au sein d’un corps de métier en général guère porté sur les confidences.


Aller en haut