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The Dead Women of Perpignan: the confession
  • 14'
  • Auteurs : Morgane Courgeon, Pauline Jaclin
  • 19-10-2014
  • Master : 2391

Disparues de Perpignan : l’aveu | M6 | 66 minutes

C’est l’une des affaires les plus sordides que la France ai connu. Une partie du mystère des disparues de la gare de Perpignan, qui a défrayé la chronique à la fin des années 90, a été résolue. Après 17 ans d’enquête, fin de cavale pour l’assassin de Mokthaia Chaib, cueilli mardi soir à son domicile par les enquêteurs de la SRPJ de Montpellier. Enquête sur un tueur sanguinaire qui a désormais un nom : Jacques.R. Au répertoire du barbare de Perpignan, des mutilations en tous genres, allant de l’éviscération au prélèvement d’organes génitaux en passant par le démembrement. Ce quinquagénaire manutentionnaire originaire de Hailles en Picardie a été mis en cause par son ADN, pour son implication dans l’assassinat sauvage de la jeune Mokthaia Chaib, en décembre 1997. Seulement voilà, son lien avec la disparition de Marie-Hélène Gonzalez, mi-1998, n’est pas inenvisageable. Pour le frère de Mokthaia, le soulagement est énorme, même s’il ravive de terribles souvenirs. Car pendant des décennies, il a vibré au rythme des multiples rebondissements de l’enquête. Le pseudo-chirurgien péruvien Andrès Palomino-Barrios, un temps mis en cause, a finalement été blanchi, et fini par se suicider chez lui à Valence en 2012. Esteban Reig, lui aussi accusé du meurtre, a mis fin à ses jours en prison… Mais grâce aux évolutions des techniques de la police scientifique, les 2 autres crimes abominables de la gare de Perpignan ne devraient pas rester impunis.


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