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ONCE UPON A TIME: THEIR BIGGEST CASES - EPISODE 2
  • 60'
  • Auteur : Alexandra Colineau
  • 14-05-2017
  • Master : 2643

IL ÉTAIT UNE FOIS : LEURS PLUS GRANDES AFFAIRES – ÉPISODE 2 | TF1 | Reportages

Ce sont des figures du célèbre 36 quai des Orfèvres. Claude Cances a dirigé l’anti-gang avant de devenir le patron de la PJ Parisienne. Bernard Pasqualini est un ancien commissaire de la crim’. Durant leur carrière, ils ont traqué les plus redoutables gangsters, et arrêté de nombreux assassins. Ils plongent dans leurs souvenirs pour nous raconter deux grandes affaires qui ont marqué leur carrière. L’affaire Pesquet pour Claude Cances. Le gang des postiches pour Bernard Pasqualini.Pesquet le Landru du Val d’Oise. Juillet 1976. Claude Cances est appelé sur une affaire de triple meurtre à Neuilly. Un couple de septuagénaires et leur domestique ont été assassinés par balles à leur domicile. Leurs bijoux et lingots d’or ont été volés. En apparence, c’est un cambriolage qui a mal tourné. Mais le commissaire Claude Cances sent qu’il y a quelque chose d’étrange dans cette scène de crime. Et il trouve un indice important. La lettre d’un peintre en bâtiment, un certain Bernard Pesquet. Ce dernier confirme un rendez-vous le jour même à l’heure présumée du meurtre. Lorsque Claude Cances se retrouve face à ce suspect, il est glacé. Quarante ans après il s’en souvient encore. « J’ai vu le regard d’un tueur né ». Le passé judiciaire de Pesquet est chargé. Il a été condamné trente-cinq ans auparavant pour meurtre. Les découvertes lors la perquisition de sa maison vont le faire entrer dans la catégorie des pires tueurs en série. Il sera surnommé le « Landru du Val d’Oise »Le Gang des Postiches. Entre 1981 et 1986, un groupe d’amis de Belleville braque en série les banques des beaux quartiers de la capitale. Signe particulier : ils opèrent déguisés en rabbin, général Russe, avec le masque de Mitterrand sur la tête, ou grimés de perruques et de moustaches. La presse les surnomme « le gang des postiches ». Ils attaquent les salles des coffres forts munis de marteaux et de burins. 27 banques en cinq ans, 1300 coffres vidés… sans être arrêtés. Ils deviennent le cauchemar des policiers du 36 quai des orfèvres qui n’arrivent pas à les identifier. Jusqu’au 14 janvier 1986. Cette fois la police les repères dans une banque de la rue du docteur Blanche dans le 16è arrondissement. L’anti-gang et la BRI les attendent à la sortie. Mais ça tourne mal. Fusillades, prise d’otage. Plusieurs morts, des blessés et 3 gangsters en fuite. Un fiasco. Le commissaire Bernard Pasqualini est à la crim’. Il reprend l’affaire. Pendant un an il va mener l’enquête. Remonter le fil des indices pour les identifier et les arrêter. Trente ans après il nous replonge dans cette traque qu’il a menée jusqu’à l’assaut final de leur planque en région parisienne.Reconstitution, ITV, images d’archives et témoignages nous font revivre les grands moments du 36 quai des orfèvres.


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